Mes matières préférentielles sont le droit de la famille et le droit de la jeunesse.
Alliant un aspect juridique mais également et surtout un aspect humain, le droit familial implique nécessairement une capacité d’écoute, d’échange ainsi qu’une volonté de conciliation.
Si vous êtes confronté à un problème d’ordre familial, il est préférable de prendre conseil auprès d’un avocat qui vous éclairera quant aux démarches à entreprendre et aux solutions qui peuvent être envisagées.
Une tentative de conciliation sera toujours proposée.
Si celle-ci ne peut malheureusement aboutir, il s’agira alors de d’introduire la procédure visant au mieux à défendre vos intérêts.
Le droit de la jeunesse recouvre deux aspects :
L’avocat est désigné pour assister un mineur en danger que ce soit devant le service d’aide à la jeunesse, devant le tribunal de la jeunesse ou encore devant le service de protection judiciaire.
Son rôle est de veiller :
Il sera donc présent à chaque stade de la procédure et veillera à construire une relation de confiance avec son jeune client.
L’avocat assistera un mineur suspecté d’avoir commis un « fait qualifié infraction » dans le cadre d’une audition par la police mais également par la suite, si ce mineur devait être déféré devant le juge de la jeunesse.
L’avocat veillera tout d’abord à informer le mineur de ses droits et à le guider dans la suite de la procédure, en fonction des faits qui lui sont reprochés, de sa personnalité, de son milieu de vie et des réalités de terrain.
En droit de la jeunesse, l’avocat peut également intervenir afin d’assurer la défense des intérêts des parents du mineur.
Dans le cadre d’un dossier « mineur en danger », il s’agira de les épauler afin que la priorité soit donnée au maintien (ou au retour) du jeune dans sa famille avec éventuellement la mise en place d’un suivi éducatif.
Dans le cadre d’un dossier « mineur ayant commis un fait qualifié infraction », il conviendra de les informer de ce qu’ils sont civilement responsables de leur enfant et de ce que cela implique.